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23 juin 2010 3 23 /06 /juin /2010 15:33

« Bonjour les ami-e-s!!!!
 
 Voici re-venu le temps de notre pièce de thèâtre..... " Une bière à la menthe ? "
 
Ca se passe du Mardi 29 juin au samedi 3 juillet inclus à 21h pétante!  
  au Théâtre du Pont Neuf  : 8, place Arzac; Métro Saint-Cyprien
( pour s'y rendre c'est très simple: il faut prendre la rue de la République (celle qui mène au pont Neuf, qui lui-même mène au Filochard par exemple) et c'est la première rue à droite (la rue Arzac qui mène à la place Arzac)).
 
 L' histoire se déroule dans une pizzéria fréquentée par des exilés d'un peu partout, des immigrés et plein d'autres personnes.

 
 Les thématiques concernent l'exil, l'immigration, les femmes et tutti cuanti!

On vous attend nombreux et nombreuses!!!!!
 Bises à vous!!! saliha
 
 PS: en partenariat avec la Fol, ES-MA, Dell'arte.


Programmation : Spectacle proposé par le Fil à Plomb au Théâtre du Pont Neuf dans le cadre d'échanges de pièces entre théâtre .
 

 Pour ceux et celles qui souhaitent en savoir un peu plus, voici quelques précisions et morceaux choisis, histoire d'avoir quelque chose à se mettre sous la dent...:

Thématiques : exil, immigration, femmes…
co-auteur et interprète : Saliha Boussédra

Mis en scène, co-auteur, bande-son : Jean-Paul Jourdaà


Tout public 

 La pièce commence par « où tu vas ? » et se termine par

« d’où tu viens ? »

Cette pièce de théâtre aurait pu s’appeler L’Inconnue comme l’un des textes extrait de la pièce. La question qui traverse cette pièce et les huit personnages,
qu’interprète seule la comédienne, concerne les minorités.


L'assignations identitaire qu’ils subissent les conduit ou bien à intérioriser cette identité négative ou bien à se la réapproprier en vue de la revendiquer.
Les minoritaires entrent alors dans un processus d’auto proclamation ou
d’auto-désignation.


Le paradoxe est qu’à travers cette politisation de leurs catégories identitaires,
qui les conduit à apparaître sur la scène publique, ils souhaitent en même temps être « inconnus » au sens d’être universel ou neutre comme l’est « l’homme Blanc bourgeois d’une quarantaine d’année » qui est l’incarnation de la norme.
Dans la pièce le personnage de la jeune femme dit :


 « je voudrais être une inconnue, je ne veux pas être une étrangère, l’étrangère existe toujours par rapport à la communauté intégrée. Je ne veux pas être n’importe qui, pour ne pas me perdre dans l’anonymat du même.  Je voudrais être une inconnue au singulier.Je voudrais passer entre les gens sans être vue. »

Le décor se passe dans une pizzeria fréquentée par des réfugiés politiques, des
ouvriers, des intellectuels, cette jeune femme, Sabrina, qui quitte la banlieue et une bourgeoise qui entre là par hasard.


Pièce pleine d’émotion avec un regard à la fois lucide et emplit de tendresse et d’humour. »


Je vous transmets ce message enthousiaste, tel qu’il m’a été transmis par une amie de l’APIAF à Toulouse.

 

Hélas, je ne pourrai m'y rendre !


Et donc, à vous, bonne soirée ! MJC

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